"Tu fais agent immobilier comme ça."
Je me suis encore fais une montagne d'un détail. Peu importe, les choses se sont passées comme elles devaient le faire, et il n'y a pas eu d'incident notable, sinon un regard faussement caché d'un gueux stupide et profondément méprisable. La routine. Ce qui mérite mon attention est ailleurs ; il semblerait en effet que tout ne tienne qu'à moi , et moi seul. Je constate que les gens ne se retournent pas dans la rue quand on ne leur donne pas de raison de le faire. J'ai arrêter de donner le bâton pour me faire battre. Désolé, chers amis, ils faudra trouver d'autres armes.
Le fait est que je suis sur la bonne voie. J'ai repris le sifflet cet après-midi, d'une main de maître, j'ai repris le contrôle de mes études, avec force et conviction, j'ai retrouver l'envie, tout simplement. Il est dommage que vous ne me voyez pas en ce moment, j'ai cette esquisse de sourire au coin des lèvres, celui qu'on porte fièrement dans la rue lorsque tout va bien. Je n'ai plus envie de me plaindre, mais d'avancer. Et avancer passe par se comprendre, s'accepter, s'écouter. J'ai réussis à le faire ce dernières semaines.
Et même si 2014 commençait mal, il s'agit bien de mon année. J'ai le temps, je le prend. Vous savez, à force de se répéter que la liberté, comme le temps, ne se gagne pas mais se prend, on finit par l'intégrer. Je me suis affranchit des erreurs qui ne sont pas les miennes, des colères qui ne sont pas fondées, des douleurs inutiles. Je me suis affranchit des autres, de leur regard, de leurs opinions. Je me suis affranchit des contraintes qui ne venaient pas de moi, des horaires et des obligation. Je suis maintenant libre.
Le fait est que je suis sur la bonne voie. J'ai repris le sifflet cet après-midi, d'une main de maître, j'ai repris le contrôle de mes études, avec force et conviction, j'ai retrouver l'envie, tout simplement. Il est dommage que vous ne me voyez pas en ce moment, j'ai cette esquisse de sourire au coin des lèvres, celui qu'on porte fièrement dans la rue lorsque tout va bien. Je n'ai plus envie de me plaindre, mais d'avancer. Et avancer passe par se comprendre, s'accepter, s'écouter. J'ai réussis à le faire ce dernières semaines.
Et même si 2014 commençait mal, il s'agit bien de mon année. J'ai le temps, je le prend. Vous savez, à force de se répéter que la liberté, comme le temps, ne se gagne pas mais se prend, on finit par l'intégrer. Je me suis affranchit des erreurs qui ne sont pas les miennes, des colères qui ne sont pas fondées, des douleurs inutiles. Je me suis affranchit des autres, de leur regard, de leurs opinions. Je me suis affranchit des contraintes qui ne venaient pas de moi, des horaires et des obligation. Je suis maintenant libre.
& je te souhaite le meilleur pour 2014!