[Je vous mets un peu de printemps en hiver, pour ne pas oublier que demain sera un autre jour]
Je vous écrivais la dernière fois que ça allait plutôt pas trop mal. Que les jours passaient, inlassablement, mais que j'avais la sensation de me perdre. Je vous écrivais que je m'étais rapproché de moi, que je retrouvais lentement le chemin de la raison et de la réussite. Je vous écrivais, en somme, cet immense bouleversement qui se profilait en moi.
Je n'ai pas la moindre idée de s'il a déjà eu lieu ou non, mais il y a quelque chose qui, fondamentalement, ne fonctionne plus de la même manière. Peut-être ai-ja appris à relativiser. Peut-être ai-je accepter qui je suis encore un peu plus. Peut-être me suis-je arrêté de me poser toutes ces questions. Le fait est que indéniablement, j'ai changé. J'ai profondément changé ces derniers mois. J'ai retrouvé le sourire, la raison, et récemment un semblant de motivation. J'ai trouvé la paix, la sérénité, la tolérance. Mais est-ce que pour autant je suis prêt à assumer ?
J'ai parcouru un long chemin, mais bien dérisoire face à celui qu'il me reste à parcourir. J'ai fait le pas le pas le plus difficile, à savoir la premier pas. Il n'en reste pas moins que le chemin est encore long, et que je suis loin d'être là où je veux me trouver dans un an. Je ne sais pas si je pêche par impatience, néanmoins je sais que je ne me satisfait pas encore de ce que je suis devenu. Et même si dans ma tête tout va mieux, si j'ai accepté pour de vrai, si je suis plus fort mentalement, je ne sais toujours pas où trouver la force. Si être heureux nécessite de le dire, alors je ne suis pas pleinement heureux. Seulement si le dire n'est pas condition nécessaire, alors je pense que je ne suis vraiment plus très loin du bonheur. Ce sont ces petits moments que j'ai appris à apprécier qui me font dire que les choses vont mieux. En réalité, elles vont toujours de la même façon, seulement j'ai compris qu'elles allaient déjà bien.
La frustration découle de la fainéantise alors que l'ambition découle du rêve. Il ne tient qu'à nous de choisir entre rêve et fainéantise, entre ambition et frustration. Il ne tient qu'à nous de nous trouver heureux et posés. La plénitude a envahie mon corps et mon esprit. Je n'ai pas eu peur de demain depuis longtemps. Et même si je reste seul, et cette boule de rancoeur sordide, j'ai appris à l'évacuer autrement, par le travail, parce qu'on a rien sans rien. La volonté est mère de la réussite, et j'ai envie. Vraiment.
Je n'ai pas la moindre idée de s'il a déjà eu lieu ou non, mais il y a quelque chose qui, fondamentalement, ne fonctionne plus de la même manière. Peut-être ai-ja appris à relativiser. Peut-être ai-je accepter qui je suis encore un peu plus. Peut-être me suis-je arrêté de me poser toutes ces questions. Le fait est que indéniablement, j'ai changé. J'ai profondément changé ces derniers mois. J'ai retrouvé le sourire, la raison, et récemment un semblant de motivation. J'ai trouvé la paix, la sérénité, la tolérance. Mais est-ce que pour autant je suis prêt à assumer ?
J'ai parcouru un long chemin, mais bien dérisoire face à celui qu'il me reste à parcourir. J'ai fait le pas le pas le plus difficile, à savoir la premier pas. Il n'en reste pas moins que le chemin est encore long, et que je suis loin d'être là où je veux me trouver dans un an. Je ne sais pas si je pêche par impatience, néanmoins je sais que je ne me satisfait pas encore de ce que je suis devenu. Et même si dans ma tête tout va mieux, si j'ai accepté pour de vrai, si je suis plus fort mentalement, je ne sais toujours pas où trouver la force. Si être heureux nécessite de le dire, alors je ne suis pas pleinement heureux. Seulement si le dire n'est pas condition nécessaire, alors je pense que je ne suis vraiment plus très loin du bonheur. Ce sont ces petits moments que j'ai appris à apprécier qui me font dire que les choses vont mieux. En réalité, elles vont toujours de la même façon, seulement j'ai compris qu'elles allaient déjà bien.
La frustration découle de la fainéantise alors que l'ambition découle du rêve. Il ne tient qu'à nous de choisir entre rêve et fainéantise, entre ambition et frustration. Il ne tient qu'à nous de nous trouver heureux et posés. La plénitude a envahie mon corps et mon esprit. Je n'ai pas eu peur de demain depuis longtemps. Et même si je reste seul, et cette boule de rancoeur sordide, j'ai appris à l'évacuer autrement, par le travail, parce qu'on a rien sans rien. La volonté est mère de la réussite, et j'ai envie. Vraiment.
Il est de ces émotions et de ces sentiments qu'aucun mot ne pourra jamais décrire.
Les japonais disent que le chemin de l'excellence c'est de faire un tout petit progrès mlais tous les jours.