Vous savez, un jour j'assumerais. J'en suis persuader, convaincu. J'en prend le chemin, chaque jour est un peu moins douloureux que la veille, mis à part les rechutes ponctuelles que je viens déverser ici. Je pense sincèrement que ça ira mieux cette semaine, que tout ira mieux. Je pense que je vais mieux, parce que je reprend confiance en moi, et en l'humanité. Rien n'est encore acquis, bien sur, mais j'ai choisis le chemin du mieux. Terminé la déprime constante, la faiblesse apparente. Je vais me battre pour réussir, comme ce matin, parce que l'effort est toujours récompensé !
Il m'a fallu être patient pour changer de philosophie. Ces dernières semaines m'ont brisées, et il est exclu, et je pèse mes mots, que je passe une année à me morfondre. Je vais encore bouffer du doute et de la rancoeur. Je vais encore m'en prendre plein la gueule, mais bordel, je vais rayonné, parce qu'il faut décider que l'on est mieux pour l'être. Je l'ai dis ce matin "il suffit d'y croire, de ne pas abandonner", j'ai su me remotiver, tout seul, parce qu'il est temps. Il est temps de dire merde aux cons et mort au vaches. Il est temps de prendre son temps, de ne plus espérer, de ne plus se projeter. Je sais que mes mots sont stupides, mais l'écrire me permet d'y croire un peu plus. Je vais y mettre de la volonté, je vais aller mieux, et je m'assumerais, bientôt.
Rien à carrer des quolibets, rien à faire des gens. Désormais, je vie. J'emmerde le monde. J'emmerde ceux qui doute de moi. J'emmerde chaque personne qui viendra me chercher. Il est temps les enfants, il est temps de se reprendre en main. Ca a assez duré. Il est temps de reprendre les rênes, de diriger ma vie comme je l'entend. J'irais peut-être pas en prépa, mais j'irais faire ce qui me plaît. Je deviendrais peut-être pas président de la république, mais qu'importe. Je vais laisser le temps faire son oeuvre, en essayant de l'exploité du mieux possible.
Ce soir j'ai mal à la tête. Mal causé par ce trop plein de ce rien dans lequel je me complaît depuis trois semaines. Ma tête va explosée si je ne la repose pas, temps mort. Pleine de pensées négatives, d'images dont je ne veux plus. Il suffit, ça m'agace cet état de larve. Il est temps de vivre. Il est temps de vivre heureux. Il est temps de vire heureux et pour moi. Il est temps de vivre heureux et pour moi, pour que je donne aux autres, le moment venu.
Ce soir, France2 à 21h. Regardez, on va devenir champion d'Europe. J'y crois aussi à ça ! J'y crois, parce que je le veux.
Rien à carrer des quolibets, rien à faire des gens. Désormais, je vie. J'emmerde le monde. J'emmerde ceux qui doute de moi. J'emmerde chaque personne qui viendra me chercher. Il est temps les enfants, il est temps de se reprendre en main. Ca a assez duré. Il est temps de reprendre les rênes, de diriger ma vie comme je l'entend. J'irais peut-être pas en prépa, mais j'irais faire ce qui me plaît. Je deviendrais peut-être pas président de la république, mais qu'importe. Je vais laisser le temps faire son oeuvre, en essayant de l'exploité du mieux possible.
Ce soir j'ai mal à la tête. Mal causé par ce trop plein de ce rien dans lequel je me complaît depuis trois semaines. Ma tête va explosée si je ne la repose pas, temps mort. Pleine de pensées négatives, d'images dont je ne veux plus. Il suffit, ça m'agace cet état de larve. Il est temps de vivre. Il est temps de vivre heureux. Il est temps de vire heureux et pour moi. Il est temps de vivre heureux et pour moi, pour que je donne aux autres, le moment venu.
Ce soir, France2 à 21h. Regardez, on va devenir champion d'Europe. J'y crois aussi à ça ! J'y crois, parce que je le veux.
3 points. Le début. Dimanche je serais là, et j'en mettrais bien plus.