Et passe les gens et passe l'argent. Et coule le temps, l'eau sous les pont. Et tourne la roue, les moulins. Et jamais rien ne change, dans une vie trop petite, trop étriqué. Et tiraillé entre l'inquiétude de devoir ramasser d'autres morceaux et la peur de voir s'envoler l'oiseau, je me retrouve une fois encore à écrire mon désarroi sur les pages irréelles de l'internet. Comme si l'histoire se répéter, en ne daignant changer que les personnages, parce que le temps a assagit les plus anciens protagonistes.
Quand l'une apprend, comprend, l'autre reprend le flambeau de la précédente. Jouant à ces jeux dangereux d'excès de confiance, ce besoin de belles paroles, d'un homme. Mais, comme je l'ai déjà dit a une certaines personne, c'est quand les mots d'un homme deviennent trop poétiques qu'il faut se méfier, sept lettres devraient suffire, s'il aimait vraiment. Elle a sûrement peur de demain, comme moi même j'ai peur de ce que l'avenir me réserve, mais un point entre nous nous différencie; là ou je prône la prudence, elle prône le risque, comme jadis l'autre l'avait fait. L'inconscience a dévoré sa pudeur. La peur de la solitude a dévoré la carapace d'indifférence, et ainsi, la confiance a disparue au profit du secret.
Je connais ces étapes, je les ai prise dans le sens inverse. Le monde, elle l'adore, moi, il me dégoûte, comme l'aubergine dégoûte les enfants. Elle a trouver des amis, elle rêve maintenant de l'amour. Vous savez, ce mélange chimique d'hormones qui fait du visage de cet inconnue le plus beau visage du monde. Vous savez, cette sensation de paralysie, de gêne. Si, vous savez, cette connerie qu'on nous apprend à inventer, à trouver, et pire, qu'on se force à chercher. Mais si, vous savez, puisqu'on est tous passez par là. On s'est tut, la première fois, on l'a avoué, la seconde, on a tenté, la troisième, et on en a souffert à chaque fois.
On ne fait que répété les schémas qu'on connait. Ceux de nos amis, nos parents, notre famille. On ne fait que du mimétisme, là où l'originalité est devenue mère des moqueries. Là où la nouveauté dérange plus qu'elle n'arrange. Là, ici, maintenant, où j'aimerais être aussi sûr qu'elle de se qu'elle me dit.
Je connais ces étapes, je les ai prise dans le sens inverse. Le monde, elle l'adore, moi, il me dégoûte, comme l'aubergine dégoûte les enfants. Elle a trouver des amis, elle rêve maintenant de l'amour. Vous savez, ce mélange chimique d'hormones qui fait du visage de cet inconnue le plus beau visage du monde. Vous savez, cette sensation de paralysie, de gêne. Si, vous savez, cette connerie qu'on nous apprend à inventer, à trouver, et pire, qu'on se force à chercher. Mais si, vous savez, puisqu'on est tous passez par là. On s'est tut, la première fois, on l'a avoué, la seconde, on a tenté, la troisième, et on en a souffert à chaque fois.
On ne fait que répété les schémas qu'on connait. Ceux de nos amis, nos parents, notre famille. On ne fait que du mimétisme, là où l'originalité est devenue mère des moqueries. Là où la nouveauté dérange plus qu'elle n'arrange. Là, ici, maintenant, où j'aimerais être aussi sûr qu'elle de se qu'elle me dit.
L'amour, on ne le trouve qu'en ne le cherchant pas.